… à l’amande délicieuse. Énoncé d'intérêt Valeurs dendrologiques Un caryer cordiforme attire l’attention dans le parc Mont-Royal, à l’est de l’hôpital pour enfants des Shriners construit en … de près de 85 cm fait de lui le plus gros caryer cordiforme recensé du parc Mont-Royal en date du 1 er août 2012. Sa cime semble transpercer la canopée forestière et toucher le ciel. Ce … de tronc laisse croire qu’il a dépassé son espérance de vie qui est de 150 ans. D’ailleurs, le temps a fait sa marque comme le démontre l’impressionnante cavité située à la base de son tronc. …
… pennées de 5 à 13 folioles. Son rameau est jaunâtre, rude et marqué de lenticelles très apparentes tandis que l’écorce du tronc d’un gris jaunâtre, cannelée avec des crêtes subéreuses, vire au jaune vif à l’intérieur. Énoncé d'intérêt Valeurs dendrologiques Ce magnifique phellodendron de l’Amour ( Phellodendron amurense ) est situé dans le secteur du lac aux Castors du parc du Mont-Royal en bordure d’un sentier principal. Cet arbre est …
… nord. Il préfère les sols sablonneux et ensoleillés mais, il peut aussi occuper des sites rocheux aux sols minces comme sur le mont Royal où il est naturellement très abondant. Énoncé d'intérêt Valeurs dendrologiques Ce chêne rouge de plus de 200 ans est présentement le plus gros répertorié dans le parc du Mont-Royal avec son diamètre de 124 cm. Il fait … en bonne condition, même si une cavité, visiblement utilisée par un petit mammifère, est présente à la base du tronc. Cet arbre a poussé naturellement dans la forêt du mont-Royal et est un …
… nord. Il préfère les sols sablonneux et ensoleillés mais, il peut aussi occuper des sites rocheux aux sols minces comme sur le mont Royal où il est naturellement très abondant. … d’un sentier secondaire, ce magnifique chêne rouge ( Quercus rubra ) est situé dans un secteur où l’on trouve un peuplement d’épinettes blanches d’environ 50 ans. Abîmé par le temps, ce vieux chêne rouge est au crépuscule de sa …
… Période de développement 1841-1870 Description de l'espèce Le cerisier tardif représente le plus gros des cerisiers indigènes au Canada. Présent dans les érablières au sud du Québec, il atteint sa limite septentrionale de distribution non loin de Québec. Il est généralement peu abondant dans un …
… nord. Il préfère les sols sablonneux et ensoleillés mais, il peut aussi occuper des sites rocheux aux sols minces comme sur le mont Royal où il est naturellement très abondant. … de la montagne. Le chêne rouge, une espèce indigène au Québec, grandit habituellement jusqu’à atteindre un tronc de 90 à 120 cm de diamètre. Cet arbre, avec son tronc de 113 cm, est donc un … du mont Royal. Il s’inscrit dans les principes de « sylviculture esthétique » prônés par Olmsted, à savoir notamment la protection du sommet au moyen de brise-vent à l’ouest. Critères de …
… Le bâtiment est Isolé Nombre d’étages 5 La façade principale se compose de Brique de revêtement ou brique structurale La façade latérale gauche se compose de Brique de revêtement ou brique structurale La façade latérale droite se compose de Brique de revêtement ou brique structurale Revêtement du toit Multicouches ou à …
… développement 1946-1980 Description de l'espèce Le phellodendron de l’Amur est un arbre de petites dimensions originaire de l’est de l’Asie. Il tire son nom de sa proximité avec le fleuve … planté à Montréal comme arbres de parcs et d’alignement de rue depuis le début des années soixante-dix. C’est un arbre de pleine lumière qui se développe dans les milieux ouverts. Il s’adapte à différents types de sol et on lui connait peu de problème lié aux insectes et aux maladies. …
… d’érable qui en fait la fierté des Québécois. Pouvant vivre 250 ans, l’étable à sucre peut atteindre 45 mètres de hauteur. Sa feuille apparaît sur le drapeau du Canada. L’érable à sucre affectionne … 1 000 m d’altitude. Érable argenté : L’érable argenté est un arbre à croissance rapide atteignant fréquemment 35 mètres de hauteur et 100 cm de diamètre. En milieu naturel, on ne le …
… forme d’un grand parasol aux rameaux retombants, il est sans contredit le plus majestueux de toutes les espèces d’orme. Depuis le 19e siècle, la grande adaptabilité de l’orme d’Amérique aux … l’ornementation des parcs et des rues de Montréal. Malheureusement, à partir des années cinquante (milieu du 20e siècle.) la maladie hollandaise de l’Orme est venue décimée les quelques 22 000 ormes d’Amérique que comptait Montréal à l’époque. Malgré ce terrible fléaux, quelques représentants ont survécu jusqu’à nos jours et peuvent ainsi témoigner …