La montagne urbanisée (1870-1930)

Le mont Royal vu à partir de la rue Saint-Viateur, Outremont, début des années 1920, Montréal. Carte postale.
Le mont Royal vu à partir de la rue Saint-Viateur, Outremont, début des années 1920, Montréal.
Crédit Le mont Royal vu à partir de la rue Saint-Viateur, Outremont, début des années 1920, Montréal
Source Bibliothèque et Archives nationales du Québec, CP 5280 CON

Protéger et développer, du sud au nord

La ville encercle peu à peu le mont Royal. Les espaces verts de la montagne sont encore, en 1870, des terrains privés appartenant à l’élite et à quelques institutions. La Ville de Montréal achète plusieurs de ces terres pour en faire un parc public, inauguré en 1876. Elle redonne ainsi à la population l’accès à la montagne et en protège le caractère naturel. Autour de cette zone de promenade et de repos, le développement s’intensifie sur les flancs : du côté sud, les institutions prennent de l’expansion alors que d’autres s’implantent sur le versant nord. Le prestige, le charme et les atouts du mont Royal continuent d’exercer leur attrait.

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