
Relief et géologie - TEST
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Une montagne au cœur de pierre Une montagne au cœur de pierre
Depuis la préhistoire, l’homme a transformé et modifié la topographie de la montagne par une succession d’interventions. À l’époque des Amérindiens, la pierre métamorphique des cornéennes sert probablement à façonner des outils tranchants et, au 19e siècle, les premières carrières sont exploitées pour la pierre de taille et les réserves de cailloux provenant de talus d’éboulis.
Si le relief de la montagne représente un obstacle, les premiers tracés nord-sud suivent les cheminements de moindre résistance en empruntant les coulées naturelles. Toutefois, jusqu’au milieu du 19e siècle, la ville se développe entre les hauteurs de la montagne et le fleuve, les versants sud, abrupts et peu accessibles, établissant la limite nord de la ville.
Maîtriser la topographie
Avec le temps, on tente de maîtriser cette topographie en la remodelant pour répondre à divers besoins. Les cimetières s’établissent au creux de la montagne. Comme ils ne disposent pas d’une épaisseur de sol suffisante pour les inhumations, on y fait des opérations importantes de remblai et de déblai.
Au rythme de l’urbanisation, l’implantation sur les hauteurs des versants extérieurs d’institutions de grande ampleur exige la création de terrasses, de plateaux, de talus et d’ambitieux travaux de remblai et de déblai qui modifient la topographie naturelle (Université McGill, Université de Montréal, Oratoire Saint-Joseph). Jusqu’à la fin des années 1930, les institutions, les terrains sportifs, les cours d’école, les belvédères, les résidences et les villas sont aménagés sur la montagne en créant un vocabulaire de parois de pierre naturelle et d’escaliers, de murs et de murets de soutènement faits généralement de pierre locale qui souligne la nature du relief et qui est propre à la montagne. Dorénavant, l’absence de lieu d’extraction de la pierre sur le mont Royal limite l’apport en pierre locale.
Plusieurs parois de pierre sont révélées par des travaux liés à la construction des réservoirs et des infrastructures de transport. À titre d’exemples, les réservoirs McTavish et Bellingham s’étendent au pied de parois impressionnantes. La réalisation des chemins Camillien-Houde et Remembrance reconfigure le trajet des tramways et transforme le paysage en tranchant au travers du roc et en exposant les formations géologiques. Puis, avec l’évolution technique des matériaux, les ouvrages en béton remplacent les ouvrages en pierre.
Topographie : une montagne, trois collines
De forme asymétrique et vaguement circulaire, la montagne a un diamètre d’environ trois kilomètres. Malgré son nom, le mont Royal a plutôt l’élévation d’une colline, avec son point le plus élevé à 233 mètres au-dessus du niveau de la mer. Bien qu’il soit l’une des plus petites Montéregiennes, il domine le paysage de Montréal et des environs à des kilomètres à la ronde.
Le mont Royal se compose en fait de trois collines distinctes, chacune dominée par un plan sommital arrondi et un sommet principal. On identifie :
- La colline du Mont-Royal, parfois nommée la colline de la croix (233 m).
- La colline d’Outremont, parfois nommée le mont Murray (215 m).
- La colline de Westmount, ou mont Summit (201 m).
De part et d’autre d’une ligne de crête qui relie les plans sommitaux s’étendent des versants extérieurs et des versants intérieurs qui entourent une dépression centrale discrète nommée l’entre-monts. La silhouette iconique de la montagne, telle que vue depuis la Rive-Sud, fait partie de l’image identitaire de Montréal.
Topographie : une montagne, trois collines
De forme asymétrique et vaguement circulaire, la montagne a un diamètre d’environ trois kilomètres. Malgré son nom, le mont Royal a plutôt l’élévation d’une colline, avec son point le plus élevé à 233 mètres au-dessus du niveau de la mer. Bien qu’il soit l’une des plus petites Montéregiennes, il domine le paysage de Montréal et des environs à des kilomètres à la ronde.
Le mont Royal se compose en fait de trois collines distinctes, chacune dominée par un plan sommital arrondi et un sommet principal. On identifie :
- La colline du Mont-Royal, parfois nommée la colline de la croix (233 m).
- La colline d’Outremont, parfois nommée le mont Murray (215 m).
- La colline de Westmount, ou mont Summit (201 m).
De part et d’autre d’une ligne de crête qui relie les plans sommitaux s’étendent des versants extérieurs et des versants intérieurs qui entourent une dépression centrale discrète nommée l’entre-monts. La silhouette iconique de la montagne, telle que vue depuis la Rive-Sud, fait partie de l’image identitaire de Montréal.
